Un chantier de légo s’effondre
« Je suis ce que je dis » : privation de la division du sujet – réel forclos et déni de l'inconscient.
Lire la suite« Je suis ce que je dis » : privation de la division du sujet – réel forclos et déni de l'inconscient.
Lire la suiteDu cogito freudien au cogito américain.
Lire la suiteClinique du « je suis » à la lumière du cas Dora.
Lire la suiteLes enseignements de la clinique avec les psychotiques comme réponse à l’idéologie du moi autonome.
Lire la suite« Son nom fabriqué devient son nom propre en tant que le signe “propre à un seul”, c’est-à-dire un signe singulier. »
Lire la suite« "Je suis ce que je dis" […] nous introduit d’emblée dans l’équivoque de “Je suis” où se loge le rapport du sujet au signifiant. »
Lire la suite« Le déni de l’inconscient se trouve […] en ce point où l’on supprime l’écart entre la jouissance du corps et le signifiant. »
Lire la suiteIl est question du choix déterminant du sujet, et de sa relation à l’Autre.
Lire la suiteAvec ou sans Autre, telle est la question au temps des Uns-tout-seuls.
Lire la suiteDe l’inconscient freudien au déni de l’inconscient.
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