Monique Olivier ou « Dire sans dire »
Lacan nous confronte à éclairer ce qu’il en est du criminel comme sujet. C’est son énonciation qui constitue la marque propre du sujet.
Lire la suiteLacan nous confronte à éclairer ce qu’il en est du criminel comme sujet. C’est son énonciation qui constitue la marque propre du sujet.
Lire la suiteLe désir de notoriété et les « satisfactions scoptophiliques » infiltrent les idéaux sociaux contemporains, ce qui tend à normaliser le crime.
Lire la suiteLa criminalité donne le cadre d’une société. Elle en est la marge.
Lire la suiteLe corps, c’est ce qui permet de saisir un être, mais c’est aussi ce qui contient une jouissance qui va avec la langue, jouissance qui le saisit tout autant.
Lire la suiteEst-il possible de concevoir un rapport à l’autre, une fraternité qui ne vire pas au rejet ?
Lire la suiteQuelque chose dans le silence attentif du consultant va opérer un petit bougé, entrebâiller un creux.
Lire la suiteDans ce que je défends sous le nom de droit d’exil, il y a notamment le droit au secret, condition pour que s’ouvre une parole intime.
Lire la suiteAvec cette notion de vie, l’humain ne cesse de se perdre, témoignage de la persistance d’un réel inassimilable dans l’existence même du sujet.
Lire la suitePour Lacan, l’humanisme universel ne tient pas à cause des paradoxes de la jouissance.
Lire la suitePourquoi cette loi [sur « la fin de vie »] aux échéances sans cesse repoussées, est-elle si difficile à être présentée au vote ?
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