CPCT

Un accueil sonore au CPCT permet à Adeline de trouver une prise signifiante dans l’Autre.

L’analyste a su saisir la balle au bond afin d’incarner un partenaire symptôme pour ce sujet au bord de la déprise sociale.

Avec Madame B., il convient « de contrer le réel qu’elle vient déposer »[1] autrement que par le père et le sens, soit par l’objet voix.

L’orientation de travail au CPCT s’est centrée sur ce que ce sujet faisait entendre : l’importance, pour soutenir sa position, du signifiant “dispersé” dont il se plaignait.

L’extrait du film de Cédric Klapish « Paris » a donné le ton de la journée Une séance au CPCT- Rencontres avec l’inconscient…

Des politiques questionnés par la place du CPCT en Aquitaine et par le thème de la Journée « La psychanalyse et les nouveaux malaises ».

Repérer ces petits indices discrets d’un tout autre désordre que celui de la puberté.

La quête effrénée d’une femme sur les réseaux sociaux pour un sujet animé d’une certitude  …

Là où les énoncés ne laissent guère de place au doute mais font entendre un « Mektoub » catastrophique, l’analyste favorise l’émergence d’un signifiant dont ce sujet pourra s’habiller.

Un syntagme qui soutient tout en imposant son inébranlable certitude.