A la une

Il s’agit de ne rien abandonner de Lacan et de ne pas se laisser séduire par un chronologisme qui n’aurait pas lieu d’être. Le dernier Lacan n’invalide en rien le premier. Mon ambition serait de pouvoir relire ce Lacan qui émerge alors de sa période de « retour à Freud », avec les outils que nous propose le Lacan d’après la césure de « Radiophonie », moment où il s’éloigne de sa période structuraliste.

Dans le livre "Destins du désir", sous la direction d’Hervé Castanet, se peint un tableau vivant, par touches, de l’actualité du désir.

Où M. Fasquelle et les quelques députés qui veulent imposer une science totale de l’autisme à ceux qui sur le terrain en connaissent les incertitudes puisent-ils leur science achevée de l’autisme ?

Ces couples célèbres qui mettent en lumière notre position subjective.

Quel est ce « je » qui reste après la traversée des identifications ?

Je n’oublierai pas que, dans le métro ce samedi matin 5 novembre, je me disais que cette fois je me rendais au Palais des Congrès, que cette fois ça aurait lieu.

Comment vit-on la pulsion après l'analyse, ou encore, de quoi le trajet de la pulsion fait-il le tour après l'analyse ? Lorsque le dentiste enlève la dent malade, il reste un trou. Y-a-t-il une élaboration possible à partir de ce trou ?

«L'une des premières surprises a été de découvrir des cas qui avaient presque tous un trait commun : il y était question de la difficulté à rencontrer l’autre.»

L’éducation ne doit-elle pas s’éduquer elle-même au savoir, en ce que ce savoir lui-même est la voie de la vie de son propre désir?

Matuvu, Biblioregard, la préparation des simultanées et de la plénière... Laurent Dupont nous dévoile, sans ciller, un peu du chemin emprunté par l'équipe qui prépare les Journées.