Annie Czarnecki vit et travaille à Marseille.
Michel Guérin, philosophe, écrit à propos des œuvres (huile sur toile) de « série noire » : « On peut voir passer dans la peinture d’Annie Czarnecki des théories de nuages. Non seulement il ne faut pas s’empêcher de les reconnaître, au motif, croit-on savoir, que la peinture ne représente plus, mais il importe de s’attarder dans cette perception à la fois défilante et stagnante. Les nuages se bousculent, se poussent, “se rentrent dedans”, disparaissent et reparaissent ; c’est, sous nos yeux, le Même qui devient Autre, l’un multiple, le fini sans fin. »